Après les rumeurs et les versions contradictoires, l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche vient remettre un peu d’ordre dans l’affaire de l’agression de Samara à Montpellier. Début avril, cette adolescente de 4e était rouée de coups à proximité de son collège («pas devant l’établissement comme cela a pu être dit ou écrit», précise l’inspection générale) puis hospitalisée. Une agression extrêmement violente qui l’a plongée dans le coma plus d’une journée et qui a suscité émoi et récupérations politiques. Cinq mineurs ont été mis en examen pour tentative d’homicide.
A l’issue de 51 auditions, «la mission n’a relevé aucun manquement fautif de la part du personnel de l’établissement et ne peut établir objectivement une situation de harcèlement scolaire à l’encontre de Samara». Sa mère avait assuré que la jeune fille était victime de harcèlement et que