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Colère sociale

18 septembre: le monde de l’éducation au premier rang de la contestation

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La mobilisation interprofessionnelle de jeudi s’annonce bien suivie dans les écoles, collèges et lycées, avec des disparités selon les territoires. Les syndicats dénoncent l’austérité et réclament des moyens.

Lors d'une manifestation d'étudiants et d'enseignants, à Paris le 10 septembre 2024. (Xose Bouzas/Hans Lucas. AFP)
Publié le 16/09/2025 à 18h31

Ecoles, collèges, lycées et périscolaire devraient tourner au ralenti jeudi 18 septembre. L’éducation s’annonce en effet comme l’un des gros bataillons de la grève interprofessionnelle. Six fédérations (FSU, Unsa éducation, Fnec FP-FO, CFDT éducation formation recherche publiques, CGT éduc’action et SUD éducation) appellent à descendre dans la rue contre «tout budget d’austérité» et pour «l’avenir du service public d’éducation».

Dans les écoles, où les professeurs doivent se déclarer grévistes quarante-huit heures à l’avance, le SNUipp-FSU, premier syndicat du primaire, table sur près d’un tiers des enseignants en grève. Une mobilisation variable selon les ter