Combien de nouvelles classes s’apprêtent à ouvrir à la rentrée prochaine dans les établissements privés ? Quelle est la répartition des moyens donnés au privé, dans les territoires ruraux et les cœurs des grandes villes ? A Paris par exemple, dans les chics Stanislas, l’Alsacienne ou Jeannine Manuel, les effectifs sont-ils à la hausse, et le nombre de professeurs avec ? Ou peut-être est-ce l’inverse ?
Ces données, se dit-on, devraient être simples à obtenir vu que les établissements privés sous contrat avec l’Etat relèvent du service public de l’Education nationale. Les enseignants sont payés par le ministère, comme leurs homologues du public. «C’est comme le reste, on ne sait rien. Toujours l’opacité», déplore Franck