C’est devenu un automatisme. Pour faire leurs devoirs, préparer un exposé ou comprendre une notion un peu floue, la première étape de nombreux lycéens s’appelle désormais ChatGPT. Et à l’heure des révisions, l’habitude ne faiblit pas. Fiches, quiz express, planning de travail sur mesure ou coaching pour le grand oral : l’IA générative s’est discrètement imposée comme l’outil incontournable de la dernière ligne droite avant le bac. Avec des usages variables.

Célia, 18 ans, en terminale générale à Mulhouse (Haut-Rhin), spécialités SES et anglais, utilise ChatGPT pour générer des fiches – surtout en histoire-géo – à partir de ses cours, parfois en envoyant directement une photo. La version gratuite limite à cinq images ? Elle contourne avec