Et si ce témoignage était lui-même fake, faux, une arnaque, d’où son retrait précipité ? C’est l’hypothèse qu’on a envisagée, dans un premier temps. Parce que tout le monde (les médias, les réseaux sociaux) en parlait, de l’histoire d’Anne arnaquée à hauteur de 830 000 euros par un faux Brad Pitt qui lui a fait croire à l’amour en ligne, mais son portrait diffusé dimanche 12 janvier dans Sept à huit sur TF1 semblait comme volatilisé, ce mardi matin. Et puis l’émission animée par Harry Roselmack a expliqué, dans un communiqué : le sujet a été retiré de toutes les plateformes de diffusion en raison d’une vague de harcèlement contre la victime.
Risée après avoir été plumée
On a d’abord soupçonné un «fake», parce que l’histoire est dingue. Une chic quinquagénaire française, décoratrice d’intérieur mariée à un millionnaire, mord via Instagram (qu’elle découvre) à un hameçon énorme : contactée par la mère prétendue de la superstar américaine, qui l’assure qu’elle serait la femme idéale pour son fils, Anne noue ensuite un lien virtuel avec Brad Pitt himself. Cette amitié vire au rapprochement sentimental jusqu’à demande en mariage par l’acteur, puis versement d’argent en faveur de l’acteur soi-disant atteint d’un cancer du rein – hélas, ses comptes sont bloqués en raison du divorce avec Angelina Jolie, e