Chaque été, des familles issues de l’immigration maghrébine repartent en Algérie, en Tunisie ou au Maroc. Libération embarque dans ce périple aux côtés d’une famille franco-tunisienne qui prend la route, en voiture puis lors d’une longue traversée en ferry jusqu’à Tunis, pour transmettre une mémoire : celle du lien au pays. Pour lire l’épisode précédent, cliquez ici.
Pour Nouri Guilouchi, c’est le «meilleur moment de l’année». Depuis plus de quatre décennies, la saison estivale signe pour ce mécanicien de 62 ans le retour tant attendu vers la terre qui l’a vu grandir. Chaque départ vers la