Menu
Libération
Inclusion

Le service public départemental de l’autonomie cristallise les attentes au sujet du «bien vieillir»

Article réservé aux abonnés
Le handicap au quotidiendossier
Lancé le 23 avril, après une expérimentation dans 18 départements, ce nouveau service vise à faciliter les démarches liées au vieillissement et au handicap. Si son intérêt est indubitable, beaucoup craignent que l’enveloppe financière qui lui est allouée soit trop légère.
Le service public départemental de l’autonomie vise à simplifier le parcours des personnes âgées et handicapées et de leurs aidants. (PeopleImages/Getty Images)
par Sidonie Davenel
publié le 27 avril 2025 à 12h09

Il est l’un des premiers jalons posés par la loi «Bien vieillir», depuis l’adoption de cette dernière par le Parlement le 27 mars 2024. Le service public départemental de l’autonomie (SPDA) a officiellement été généralisé à l’ensemble de la France le 23 avril, après un an d’expérimentation dans 18 départements français. Lancé par la ministre déléguée au Handicap et à l’Autonomie, Charlotte Parmentier-Lecocq, le dispositif vise à simplifier le parcours des personnes âgées et handicapées et de leurs aidants, confrontés à la complexité d’un système administratif rendu tentaculaire par sa nébuleuse de prestations et d’acteurs.

Le nouveau service public s’est déployé auto