Pas de «nouveau modèle français de la fin de vie» possible sans une amélioration significative de l’accès aux soins palliatifs sur l’ensemble du territoire. C’est animés par cette conviction, partagée sur tous les bancs, que les députés ont abordé cette semaine l’examen de la proposition de loi sur les soins palliatifs et d’accompagnement, socle législatif de la stratégie décennale forte de 1,1 milliard d’euros sur dix ans présentée par le gouvernement en avril 2024.
Vendredi 16 mai dans la soirée, la représentation nationale a fini d’écluser les 673 amendements déposés sur le texte, qui sera soumis à un vote solennel le 27 mai, en même temps que la proposition de loi sur le droit à l’aide à mourir, deuxième versant beaucoup plus polémiqu