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Analyse

A la veille du début des Jeux olympiques, les forces de l’ordre parées, la sécurité privée pas tout à fait

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Grâce à des primes versées et des congés imposés, les objectifs d’effectifs de policiers et gendarmes mobilisés pour les JO ont été remplis. En revanche, des interrogations demeurent sur le nombre d’agents du privé qui seront disponibles.
A Paris, le 19 juillet. (Denis Allard/Libération)
publié le 22 juillet 2024 à 7h12

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Jusqu’ici tout va bien. A quelques jours de l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques organisés à Paris du 26 juillet au 8 septembre, rien n’est pour l’instant venu troubler cet événement planétaire. Le parcours de la flamme olympique s’est déroulé sans encombre. Chaque nouveau fait divers apporte cependant son lot de frissons. Comme quand, lundi 15 juillet, un militaire a été blessé par un coup de couteau gare de l’Est à Paris ou quand, mercredi 17 juillet, un automobiliste a foncé dans la terrasse d’un bar, dans le XXe arrondissement. Le lendemain, un policier a été blessé au couteau près des Champs-Elysées. Des événements a priori sans lien avec l’organisation de la compétition sportive.

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