A la barre
Attentat de Magnanville : «transfert» ou «contact primaire», la cour divisée sur l’ADN de l’accusé
Article réservé aux abonnés
Accusé de «complicité d’assassinats terroristes» dans le double meurtre de policiers commis en 2016, Mohamed Lamine Aberouz comparait devant la cour d’assises spéciale de Paris. Une unique «trace ADN» retrouvée au domicile des victimes constitue le seul élément matériel attestant de sa possible présence sur place.