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Libération
A la barre

Au procès du cyberharcèlement de Brigitte Macron, les prévenus toujours convaincus de «servir l’intérêt général»

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Au deuxième jour d’audience ce mardi 28 octobre au matin, les figures les plus médiatiques de l’affaire, «Zoé Sagan» et Bernard Schöller, ont longuement été entendues dans la matinée. La fille de Brigitte Macron, elle, s’exprime cet après-midi.

Aurélien Poirson-Atlan, alias Zoé Sagan, le 27 octobre 2025 à Paris. (Stephane de Sakutin/AFP)
Publié le 28/10/2025 à 15h55, mis à jour le 28/10/2025 à 16h38

Après une première salve d’interrogatoire la veille, la 10e chambre correctionnelle du tribunal de Paris a entendu ce mardi 28 octobre les trois prévenus restants, sur les dix prévenus pour les faits de cyberharcèlement visant Brigitte Macron. Quatre longues heures d’audience qui ont vu discourir avec beaucoup d’aisance les mis en cause, se permettant même de prendre à partie le président de la cour.

Le premier à se présenter à la barre plaide «avoir retweeté sans réfléchir». Jean-Luc. M, retraité et deuxième adjoint au maire d’une commune de Saône-et-Loire, est confronté aux messages transphobes qu’il a relayés, ainsi que des photomontages de