En seulement un mois, il y a eu Stains, il y a eu Rosny-sous-Bois et, plus récemment, il y a eu Noisy-le-Grand et le Xe arrondissement de Paris. Dans chacun de ces cas, des vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, relayées par des internautes dénonçant des «violences policières».
Dans chaque cas, aussi, la préfecture de police de Paris a très rapidement réagi, communiquant parfois dans les heures qui suivent l’évènement. Soit pour «fact-checker», c’est-à-dire procéder elle-même à la vérification des faits et en donner sa version, soit pour annoncer qu’une enquête administrative était lancée en interne pour évaluer si les agents mis en cause ont outrepassé leurs droits. Si elle n’est pas nouvelle à la «PP», cette pratique s’accélère nettement ces derniers mois, alors que nous étions plutôt habitués aux réponses lapidaires, «envoyez-nous un mail avec votre question», voire à un simp