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Interview

Hélène Devynck, après la plainte de PPDA: il essaie «d’impressionner les femmes qui ont subi des violences sexuelles non prescrites»

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Violences sexuellesdossier
La journaliste et scénariste fait partie des seize femmes qui accusent publiquement l’ex-présentateur vedette de TF1 de violences sexuelles. Elle réagit à cette nouvelle plainte destinée selon elle à les «faire taire».
La scénariste Hélène Devynck a débuté à TF1 en 1989. (Montage Libération avec Jérôme Bonnet)
publié le 27 avril 2022 à 18h49

Alors qu’une enquête préliminaire et une instruction sont toujours en cours contre Patrick Poivre d’Arvor, pour viols, agressions sexuelles ou harcèlement (il est donc présumé innocent dans le cadre de ces procédures), l’animateur, ex-vedette de TF1, attaque seize femmes qui ont témoigné ou porté plainte contre lui, dont les huit qui s’étaient confiées à Libération. Il les poursuit pour dénonciations calomnieuses. Réactions à chaud d’Hélène Devynck, l’une des seize femmes mises en cause.

Comment réagissez-vous à la plainte de Patrick Poivre d’Arvor à l’encontre de seize d’entre vous ?

Il faut savoir que Patrick Poivre d’Arvor avait déjà déposé une plainte contre nous le 25 février qui a été classée sans suite au bout de deux jours seulement ! Il réitère son geste. Au-delà de l’étonnement, de l’épuisement qu’il y a à devoir encore une fois nous défendre, nous sommes contentes. Nous espérons toutes que l’a