Neuf mois après la série de Libération intitulée «les Hommes de la rue du Bac», dans laquelle une femme, Inès Chatin, dénonçait des actes pédocriminels commis de ses 4 ans à ses 13 ans par plusieurs figures intellectuelles françaises, le Figaro a publié le 11 mars une «contre-enquête». Cet article s’intéresse exclusivement à l’un des hommes désignés par Inès Chatin parmi ses agresseurs : l’essayiste et académicien Jean-François Revel, décédé en 2006.
Le journal assure que son implication dans des sévices sexuels, commis avec des objets métalliques sur des enfants, dans un appartement parisien situé au 33-35 rue de Varenne (VIIe), de 1977 au début des années 80, serait disqualifiée par son absence de proximité avec le père adoptif d’Inès Chatin, le docteur Je