Parce que la fontaine de jouvence est un mythe relégué aux pages de livres et écrans de cinéma, le vieillissement est inéluctable. On l’imagine souvent progressif, au fil des bougies soufflées d’année en année. Mais une nouvelle étude publiée dans Nature Aging, repérée par Le Figaro, montre plutôt que notre corps subit des coups de vieux à des âges bien spécifiques. Autour de 44 ans et de 60 ans pour être plus précis. Conclusion faite par des chercheurs de l’université de Stanford (Etats-Unis), qui ont mesuré pour la première fois le vieillissement biologique - c’est-à-dire de cellules.
Quand on vieillit, les cheveux blancs et les rides ne sont que la partie la plus visible des changements de notre corps. Ces évolutions physiologiques sont aussi associées à différentes pathologies, en particulier les maladies cardiovasculaires - deuxième cause de mortalité en France -, le cancer - la première -, le diabète et la neurodégénérescence telle que les