Ces dernières semaines, de plus en plus de pays développés annoncent l’organisation d’une nouvelle campagne de vaccination pour administrer une troisième dose de vaccin anti-Covid à une partie de leurs citoyens. Comme le gouvernement allemand, Emmanuel Macron vise les «plus fragiles et plus âgés» pour une troisième injection à la rentrée. Israël la distribue déjà aux plus de 60 ans, vaccinés il y a plus de six mois. Au Royaume-Uni, on fixe la limite à 50 ans. Plus ambitieuse encore, la Suède anticipe un rappel en 2022 pour «une grande partie de la population».
Sur quels arguments s’appuient les gouvernements pour choisir les bénéficiaires de cette troisième dose et l’échéance de leur prochaine vaccination ? Les études scientifiques montrent