Récit
Détransitions de genre: «J’en ai marre qu’on dramatise comme si c’était la fin du monde»
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L’arrêt temporaire ou définitif d’un processus entamé pour changer de genre reste rare et les personnes concernées ne voient pas toutes ce parcours comme un retour en arrière. Un constat qui va à rebours de la «panique morale» agitée par les milieux conservateurs.