«Contre l’internationale réactionnaire». Cette année, le mot d’ordre de la marche des fiertés parisienne, qui se tient ce samedi 28 juin, était très clair. Pourtant, un groupuscule d’extrême droite, transphobe et islamophobe, le collectif Eros, entend bien s’y inviter. Compromettant, de fait, la tenue du défilé dans les rues de Paris, révèle StreetPress. L’Inter-LGBT confirme, ce mercredi 25 juin auprès de Libération, l’immobilisation pure et simple de la marche si des membres de ce collectif identitaire venaient à se pointer.
Violences
«Il est hors de question qu’un collectif transphobe ait le droit de marcher et vienne perturber l’événement, assène Clara Privé, vice-présidente de