Menu
Libération

RUGBY.COUPE DU MONDE 1999. Petits et grands enjeux des matchs du week-end. Deux jours pour démêler les poules.

Article réservé aux abonnés
publié le 9 octobre 1999 à 1h07

Six équipes vont jouer un match capital pour leur avenir dans la

Coupe du monde au cours d'un week-end dont le choc sera Angleterre-Nouvelle-Zélande (lire page suivante). Outre les Blacks et les Anglais qui vont se disputer la première place du groupe B, Irlandais et Australiens joueront celle du groupe E, alors que Samoans et Argentins viseront le fauteuil de dauphin dans le groupe D. Petits et grands enjeux des matchs du week end.

Groupe A Afrique du Sud-Espagne. «Je ne ferai aucun commentaire sur l'opposition qui nous est proposée, a prévenu Nick Mallett, l'entraîneur sud-africain. La décision a été prise d'élargir la Coupe du monde à 20 équipes. Alors"» Alors les champions du monde aligneront leur équipe réserve. Et les Espagnols une formation à vocation défensive, histoire de ne pas être trop ridicules.

Groupe B Italie-Tonga. Virtuellement écartés de la course à la qualification, Italiens et Tonguiens s'affronteront pour le simple honneur d'un succès en phase finale de Coupe du monde. Avantage aux Tonguiens, vainqueurs de la France en juin (20-16) et dont le rugby plutôt physique a posé des problèmes aux All Blacks, dimanche. Quand les Italiens sombraient face aux Anglais.

Groupe C Canada-Fidji. Match capital pour les deux équipes puisqu'il décidera de leur avenir dans la compétition. Battu par la France, le Canada ne peut plus se permettre une défaite alors que les Fidji, en cas de victoire, seraient qualifiés, au moins pour les barrages. Opposition de styles au menu ent