C'était donc simple. Il fallait gagner pour Lyon et Monaco, les deux clubs français engagés hier soir en Ligue des champions. C'est passé pour Lyon. Pas pour Monaco.
Cela a bien commencé pour Lyon, à domicile contre l'Olympiakos le Pirée. Beaucoup plus mal pour Monaco à Glasgow, contre les Rangers. A Lyon donc, dès la deuxième minute, Tony Vairelles tricote sur l'aile droite et centre. Pour Anderson? Et non, c'est Laigle qui chipe le ballon quasiment sur la tête de son coéquipier brésilien, pour inscrire de la sienne (de tête) le premier but du match. L'OL est alors qualifié pour la deuxième phase de la Ligue des champions.
Et à Glasgow? Monaco s'enfonce. Une poignée de secondes après que les Lyonnais ont ouvert la marque à domicile, les Monégasques en encaissent un en Ecosse. Contreras a mal jugé un rebond, puis, dans la même action, contré la reprise de volée de Miller dans les buts de Porato. Les champions de France en titre s'éloignent de plus en plus de la qualification.
Et ensuite? A Lyon, les locaux gambergent: attaquer, défendre? Les Grecs se rebectent et les menacent. En Ecosse, les Ecossais ne se posent pas les mêmes questions. Ils attaquent. Se créent des occasions profitant des errements d'une improbable défense monégasque. N'en profitent pas. Les Monégasques se rebiffent malgré la sortie de Gallardo, leur meneur de jeu. Et égalisent sur corner par Da Costa.
Et en seconde mi-temps? A Lyon c'est de l'attaque-défense. Plaisant car les Grecs se découvrent. Intéressant c