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Libération

Saint-Etienne sanctionné, Monaco et Metz sur le gril

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publié le 18 janvier 2001 à 21h57

Après Auxerre, Metz et Nancy, les enquêteurs de la Division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB) ont effectivement vérifié, hier, les passeports de plusieurs joueurs du PSG. Agissant dans le cadre de l'enquête préliminaire diligentée par le parquet de Paris, à la suite d'une plainte de la Ligue nationale (LNF), les policiers ont entendu le président Jean-Claude Perpère et deux joueurs: le Franco-Algérien Ali Benarbia et le «Portugo-Brésilien» Christian. Tout serait conforme au PSG. La semaine prochaine, les enquêteurs feront le tour des clubs de D2 et de National.

Appel suspensif. Les sanctions sportives prononcées mardi soir par la commission juridique de la Ligue, dans le volet stéphanois du dossier, n'ont pas vraiment apaisé le climat. «Cette affaire n'est pas terminée», promettait hier Alain Bompard, président de l'ASSE. Me André Soulier, avocat des Verts, devrait, d'ici à la fin de la semaine, interjeter appel des sanctions infligées au club. Un appel suspensif de ces sanctions: retrait de sept points au classement, ce qui place les Verts en quinzième position, à égalité de points avec Metz, premier club reléguable; suspension de quatre mois (dont deux avec sursis ) pour le joueur brésilien Alex et l'Ukrainien Levytsky; interdiction, pendant un an, d'exercer des fonctions officielles dans le foot pour Gérard Soler, président délégué en charge du recrutement.

De son côté, le Toulouse-FC, qui a initié la procédure en portant réclama