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Libération

Marseille à hauteur de Lyon

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publié le 25 novembre 2002 à 1h52

Battu sur son terrain du Parc des Princes par Nantes 1-0, en prologue de la 16e journée de Ligue 1, le Paris-Saint-Germain s'enfonce doucement dans sa «traditionnelle» crise hivernale, après cette troisième défaite en quatre matchs en L1 (la première de la saison à domicile). Dans les arcanes du club parisien, il est à nouveau question d'«incompréhension» de la part de l'entraîneur Luis Fernandez et d'indispensable «remise en question» du côté des joueurs, en attendant des jours meilleurs. Une première occasion de se redresser est à saisir demain à 18 h, en 16e de finale aller de la Coupe UEFA, face aux Portugais du Boavista Porto.

Gifle cinglante. Plutôt que de sombrer dans une nouvelle crise de nerfs interne, le PSG devrait prendre exemple sur Nantes, en plein redressement après un début de saison calamiteux. Ou bien encore sur Lille, victime d'un sérieux surplace en début de saison, mal remis du départ de son coach emblématique Vahid Halilhodzic, mais qui, samedi, a asséné une gifle cinglante à Lyon (2-1), ce qui permet aux Nordistes de se hisser à la douzième place. Lyon, toujours considéré comme le grand favori du championnat, était resté sur une série de sept matchs sans défaite. A l'instar du PSG, l'OL aura l'occasion de rebondir avec la Coupe de l'UEFA, jeudi, en Turquie, face au Denizlispor.

Cette défaite lyonnaise fait, un peu, les affaires de Nice, malgré le match nul (0-0) concédé sur son terrain à la lanterne rouge Rennes (où a atterri Halilhodzic). Fabriqué de br