Entre matchs européens, mercredi et jeudi (pour Marseille et Lens, respectivement en tour préliminaire de la Ligue des champions et de la Coupe UEFA), et la troisième journée de Ligue 1 ce week-end, la saison hexagonale a pris son rythme de croisière. Sur le terrain de jeu, mais dans les coulisses également, où la pression du résultat se fait déjà sentir. Notamment au Paris Saint-Germain, où l'on assiste pour l'heure à une continuité dans le changement.
En terme de résultats, s'il faut raison garder et laisser le temps au temps, le premier bilan du nouveau tandem dirigeant Vahid Halilhodzic (entraîneur manager)-Francis Graille (président) ressemble comme un clone aux souvenirs laissés par leurs prédécesseurs, Luis Fernandez-Laurent Perpère. Avec un seul point au compteur avant le déplacement à Metz samedi, l'électrochoc espéré et par ailleurs annoncé n'a pas eu lieu au PSG. L'heure est donc, déjà, aux mises au point et aux discussions au camp des Lo ges, où Halilhodzic a surtout «bougé» ses joueurs, accusés de ne pas être assez combatifs.
«Il y a le feu.» Le PSG doit parallèlement régler le cas de Hakan Yakin, l'attaquant international suisse recruté fin juillet pour 1,5 million d'euros, et dont le contrat pourrait être purement et simplement résilié. Le joueur s'est fait opérer en Suisse, contre l'avis du staff médical parisien, d'une présumée hernie inguinale gauche. Quand il a passé la visite médicale de rigueur, il n'a pas précisé ses antécédents médicaux, et notamment