GP de Monaco
1. F. Alonso (Esp., Renault);
2. J.-P. Montoya (Col., McLaren);
3. D. Coulthard (G.-B., RedBull);
4. R. Barrichello (Bré., Honda);
5. M. Schumacher (All., Ferrari);
6. G. Fisichella (Ita., Renault); 7. N. Heidfeld (All., BMW Sauber);
8. R. Schumacher (All., Toyota); etc.
Totalisant quinze points de retard sur Fernando Alonso en arrivant à Monaco et avec la perspective de remporter le Grand Prix le plus prestigieux de la saison pour la sixième fois, Michael Schumacher ne voulait rien lâcher en principauté. Jeudi après-midi, un brin de nervosité était toutefois perceptible du côté de l'écurie italienne qui n'avait pas vraiment pas fait forte impression lors des premiers essais. «Nous ne sommes pas assez performants et nous devons comprendre ce qui ne va pas», résumait le pilote allemand . Etait-ce un coup de bluff ? On peut l'imaginer en constatant l'incroyable bond en avant des voitures rouges samedi matin lors des derniers essais avant les qualifications.
Chaque pilote sait que le résultat de la course dépend pour beaucoup de la place sur la grille de départ. Ça commence mal pour la Scuderia avec la sortie de piste du jeune Massa avant même d'avoir bouclé un tour. Schumacher se charge de remonter le moral des troupes en rivalisant avec les Renault d'Alonso et de Fisichella.
Action. A deux minutes de la fin de la séance, Michael Schumacher est d'ailleurs en pole, tandis qu'Alonso, Raikkonen et quelques autres sont également en action pour améliorer leur performance. Le der