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Libération

Un duel France-Italie favorable aux transalpins

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A chaque course, les temps forts du week-end
publié le 17 juillet 2006 à 21h59

Magny-Cours envoyé spécial

Un pilote français au départ.

Mardi soir, à trois jours des essais du Grand Prix de France, l'écurie japonaise Super-Aguri confirme le Français Montagny, lui qui rêvait de courir devant son public. En revanche, chez McLaren-Mercedes, Montoya, «remercié», est remplacé par l'Espagnol de la Rosa.

Le duel Ferrari-Renault commence aux essais.

Discrète lors des essais de vendredi, Ferrari confirme son regain de forme samedi après-midi. Pour ceux qui rêvaient d'un mano a mano entre Alonso et Schumacher, il ne fallait pas rater le dernier quart des qualifications. Pour ce qui est de la performance pure, les pilotes Ferrari prennent l'avantage et pour la 3e fois de la saison occupent toute la première ligne. Au passage, l'écurie italienne souligne les progrès réalisés par Bridgestone pour ce qui est de l'efficacité des pneus avant.

Schumacher s'envole sous la protection de Massa.

Par une température caniculaire (plus de 50 °C sur la piste), Schumacher prend un départ parfait, tandis que Massa contient Alonso de justesse. «J'étais un peu en avance dans la première courbe et Fernando avait plus à perdre que moi», dira le Brésilien. Mais son leader n'avait pas besoin de ce coup de pouce supplémentaire pour asseoir sa domination. Ce que confirmera Alonso après l'arrivée. «Passer Felipe [Massa, ndlr] au départ n'aurait pas changé grand-chose. J'aurais gagné 4 à 5 secondes, pas plus. Et pas assez pour gagner la course.»

Ajustement de stratégi