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Interview

Avant le Ghana, le choix de Le Roy

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Foot. Nommé à la tête des Black Stars, l'entraîneur puise dans sa carrière son «onze de coeur» :
publié le 21 septembre 2006 à 23h22
(mis à jour le 21 septembre 2006 à 23h22)

Claude Le Roy a décollé hier vers Accra (Ghana), où il doit signer un contrat de deux ans avec la sélection nationale. En attendant, l'entraîneur français de 58 ans nous a livré son «onze de coeur», puisé dans les équipes qu'il a entraîné depuis près de trente ans : Amiens, Grenoble, le Sénégal, le Cameroun, la Malaisie, Strasbourg, la république démocratique du Congo (RDC). Mais Le Roy est resté incapable de résister à son goût pour les joueurs techniques et à son allant offensif, résultat : deux liberos en défense centrale, une équipe qui manque de récupérateurs et un latéral gauche, Dollah Salleh, qui est plutôt un ailier gauche...

1- Thomas Nkono

Gardien (Cameroun)

«Le choix est très dur. J'ai eu des gardiens extraordinaires. Joseph-Antoine Bell, Jacques Songo'o. Je choisis Nkono. Peut-être parce qu'il fut un avant-centre remarquable, et a conservé un très bon jeu au pied.»

2- Habib Beye

Arrière droit (Strasbourg)

«Je l'ai repéré alors qu'il jouait en CFA 2 au PSG. Son contrat, c'était une carte orange. Il n'avait jamais joué en pro quand je lui ai fait signer un contrat de quatre ans à Strasbourg, en Ligue 1. Aujourd'hui, il est capitaine de l'Olympique de Marseille. Et encore, je pense qu'il ne réalise pas quel est son potentiel.»

3- Dollah Salleh

Arrière gauche (Malaisie)

«C'est plutôt un ailier gauche, mais bon... Il est totalement inconnu au niveau international, mais il aur