L’étendue des dégâts
Ils sont bien moindres qu’à l’OM ou au PSG. Reste que l’an dernier, le futur sextuple champion de France n’avait encaissé sa première défaite qu’à la 12e journée (à Rennes) et que cette saison, l’OL a chuté dès sa deuxième sortie (à Toulouse où quatre jours plus tard, un Liverpool en rodage s’imposait tranquillou). Pas dramatique, mais la force passée de Lyon tenait en partie dans sa capacité à faire croire qu’il était imbattable. Et ce capital terreur est déjà largement entamé autant par ce revers que par l’examen de la balance départs (Abidal, Tiago, Malouda, Houllier)/ arrivées (Belhadj, Keita, Bodmer, Perrin).
La phrase
«J’aimerais être réincarné en Jésus Christ.» (Jean-Michel Aulas, France Football du 15 août)
C’est si grave que ça ?
La cerise sur le gâteau
C’est n’est plus un gâteau, mais un clafoutis. Il y a d’abord eu la blessure de Coupet (gardien), puis celle de Cris (défenseur et capitaine). Le feuilleton Wiltord. Les envies de départ de Fred. Les états d’âme de Juninho. Un vestiaire lézardé. Bref, ça sent davantage les lendemains qui déchantent que les grands soirs européens.
MARSEILLE 15e , 2 points en 3 matchs En attendant Nasri
L’étendue des dégâts
Elle est d’abord comptable avec ces 2 points et cet unique but marqué alors que son calendrier (à Strasbourg, contre Rennes et à Valenciennes) était censé permettre à l’OM un décollage en couleurs. Pas en douleur, comme on l’a vu. Sur le plan du jeu, on n’a eu quasiment que de la grisaille, quand le spec