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Libération
Interview

«Le PSG doit avoir un projet cohérent»

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publié le 23 mai 2008 à 3h34

La saison 2007-2008 du PSG ressemble à un épisode de 24 Heures : il se passe toujours quelque chose et la paranoïa y est omniprésente. En ce milieu de semaine ensoleillé, le club parisien prépare sa dixième finale de Coupe de France (samedi à 21 heures au Stade de France contre Lyon). En dépit de son maintien en L1, l'équipe parisienne continue de se préparer à huis clos au Parc des Princes, loin du fracas du camp des Loges. Présélectionné par Raymond Domenech dans la liste des Bleus pour l'Euro, Mickaël Landreau, qui a connu un exercice tumultueux pour sa deuxième saison dans la capitale, fait le point à deux jours d'une finale qu'il suivra. des tribunes.

C'est une fatalité que les choses se passent ainsi à Paris ?

Je ne sais pas mais on doit faire face. Il y a peut-être des intérêts politiques, intellectuels, médiatiques, mais il est difficile en tout cas de les maîtriser ou de savoir ce qui se passe au PSG.

Qu'avez-vous ressenti samedi dernier, quand le maintien a été assuré ?

Tout ce qu'on a vécu est remonté en même temps à la surface. Il y avait de la joie mêlée à du soulagement. A la sortie du terrain, je ne savais pas où j'étais. Il y a eu une telle pression, une telle chape de plomb, qu'assis dans les vestiaires, je n'arrivais pas à réaliser que c'était la fin.

Le fait d'avoir déjà joué le maintien avec Nantes, cela vous a servi ?

Evidemment et ce n'est pas un hasard si le coach m'a laissé en place.

Vous n'allez pas jouer la finale de la Coupe de France samedi ?

Non,