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Libération

Le bétisier de l'Euro

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Quelques faits et gestes, pas forcément drôles, remarqués sur les terrains de l'Euro depuis le début de la compétition.
par AFP
publié le 27 juin 2008 à 7h00

Capitaines usés

Avant même le début de la compétition, le Français Vieira et l'Italien Cannavaro se blessent et déclarent forfait, laissant respectivement leur brassard à Thuram (et Henry) et à Buffon (et Del Piero). Le Suisse Frei (remplacé dans la fonction par Magnin) et le Polonais Zurawski (suppléé par Bak puis Zewlakow), eux, se blessent dès leur premier match. La fonction de capitaine est maudite chez les Turcs: Emre Belözöglu se blesse, puis Nihat, laissant le brassard au gardien Rüstü.

Blessure entre potes

Contre l'Italie, Radoi a dû sortir dès la 25e minute, avec le nez cassé et un oeil meurtri par... son coéquipier, Rat. En cherchant le ballon de la tête, sans se voir, les deux Roumains se sont télescopés dans un vol plané à mouvement hélicoïdal.

Polyalance
On connaît Tunçay comme marathonien omniprésent dans tous les compartiments du jeu. Face à la République tchèque, le milieu turc a encore élargi sa palette: en allant d'abord porter avec diligence un nouveau drapeau à l'arbitre assistant qui venait de casser le sien, puis en enfilant les gants à la suite de l'exclusion du gardien Volkan dans le temps additionnel.

Drôles de cartons
Il y a eu, lors du quart de finale Pays-Bas-Russie, le 2e avertissement pour Kolodin synonyme de carton rouge... annulé par Lubos Michel qui, après consultation de son assistant, a jugé que le ballon était sorti du terrain avant la faute du défenseur russe. Il y a