Les Bleus connaissent depuis hier soir les quatre formations susceptibles de leur tomber dessus en barrage : élimination sèche lors de matchs aller-retour les 14 et 18 novembre, le tirage étant pour lundi à Zurich. On a passé ceux-là en revue.
Ukraine
Pourquoi on aimerait
Parce qu’outre la dimension athlétique le football ukrainien obéit à une Sainte Trinité : des courses, des courses et encore des courses, même si le ballon est perdu, puisque dans ce cas il y a encore moyen de tamponner un adversaire qui passe par là. Une expression essentiellement physique qui ne devrait pas gêner plus que ça une équipe de France qui ne craint personne dans le maniement de la truelle et de la scie égoïne.
Pourquoi on craindrait
Parce qu’Andreï Shevchenko fut tellement fort lors de ses belles années milanaises (2003-2006) qu’on aura de la peine à le voir se traîner à la pointe de l’attaque ukrainienne tout en surjouant son rôle de capitaine pour donner le change. Ehontément couvert par son ami - et propriétaire des Blues de Chelsea - Roman Abramovich lors de ses deux saisons londoniennes (2006-2008), le Ballon d’or 2004 a été proposé à la terre entière - dont l’AS Monaco, c’est dire - cet été sans succès, ce qui explique son retour à Kiev.
Bosnie-Herzégovine
Pourquoi on aimerait
Des milliers de personnes sont descendues dimanche dans les rues de Sarajevo, Mostar ou Banja Luka pour fêter la qualification pour les ba