Löw-mania
«Jogi» ne change plus de pull. Le sélectionneur de l'équipe d'Allemagne Joachim Löw, qui affronte l'Espagne mercredi en demi-finale du Mondial, a décidé de ne plus laver son pull-over bleu au col en V, devenu son grigri favori.
«Je ne suis pas superstitieux. Mais des gens de mon entourage m'ont demandé de ne plus laver ce fameux pull-over», a-t-il expliqué à propos du pull qu'il portait lors des victoires contre l'Australie (4-0), l'Angleterre (4-1) et l'Argentine (4-0).
En Allemagne, les fans se sont précipités dans les magasins et sur internet pour acquérir le «pull-over miraculeux», comme l'a rebaptisé le quotidien populaire Bild. «Tous les stocks sont épuisés», a indiqué mardi le fabriquant, Strenesse.
Surnoms espagnols
Dans un livre intitulé «Les secrets de la Roja», paru récemment, on en apprend plus sur les surnoms des joueurs de l'équipe espagnole. Florilège. Le gardien Casillas, rarement crucifié par les attaquants, a été canonisé très jeune d'un «San Iker» pour ses parades miraculeuses.
Les surnoms élogieux du milieu du Barça Xavi sont nombreux: «la Machine», «le Professeur», «le Cerveau». Albiol est «Chori» parce qu'il est grand et maigre comme un chorizo, tandis que David Silva est «Pony» parce qu'il est petit comme un poney.
C'est plus ironique pour Capdevila, affectueusement surnommé Garrincha (génial dribbleur du grand Brésil de 1970) ou Zidane en raison de ses capacités techniques... limitées. Sergio Ramos est le mieux doté: c'est «El Lobo» (le loup), «El Comanch