Retour à la normale pour l’écurie Red Bull-Renault et pour Sebastian Vettel. Après l’atypique Grand Prix de Chine, qui avait vu la victoire de l’écurie McLaren-Mercedes grâce à l’Anglais Lewis Hamilton, la star allemande de l’écurie championne du monde a remporté hier le Grand Prix de Turquie. Cette troisième victoire en quatre courses permet au champion du monde en titre de reprendre le large au classement, avec 34 points d’avance sur son premier poursuivant. Même son équipier, l’Australien Mark Webber, qui a offert le doublé à son équipe à quelques tours de l’arrivée, n’a pas encore démontré qu’il possède les arguments pour troubler la marche en avant de son jeune équipier. Si cette fois l’équipe McLaren-Mercedes est passée à côté de sa course, la bonne surprise est venue de Ferrari, qui comble peu à peu son handicap de performance. Il a toutefois fallu le talent opportuniste de l’Espagnol Fernando Alonso pour replacer une monoplace rouge sur le podium.
L'histoire La F1 attise les convoitises
La Formule 1 n'est pas à vendre et pourtant les acheteurs se pressent au portillon du paddock. Une stratégie qui n'est pas encore tout a fait claire mais qui permet aux différents prétendants de se positionner dans l'espoir que CVC Capital Partners, le fonds d'investissements ayant acquis les droits de la F1 en 2006 et qui détient la majorité des actions dans les différentes sociétés en gérant le business, se déciderait à faire une jolie plus-value en revendant ce qu'il