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Rires, cuite et à-côtés, le podium des tribunes

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Le maire de Londres Boris Johnson en mai. (Photo Luke MacGregor. Reuters)
publié le 3 août 2012 à 22h16

Au terme d'une semaine de sueur, de hurlements de joie et de désespoir, de ratés et de médailles, voici le palmarès «off» de Libération : celui de ces instants magiques, pas forcément teintés de records, mais qui rappellent que ce grand tralala est aussi construit de petites histoires.

Médaille de la meilleure blague : A Elisabeth II (aidée d'une doublure) balancée d'un hélicoptère au-dessus du parc olympique pendant la cérémonie d'ouverture.

Palme du ridicule : Au maire de Londres, Boris «le Bouffon» Johnson, coincé mercredi en suspension à 20 mètres de haut sur un filin d'acier, agitant ses bras armés de drapeaux britanniques et hurlant : «Trouvez-moi une échelle !»

Coupe de la cuite la plus méritée : A Bradley Wiggins qui, après sa victoire au Tour de France et sa médaille d'or au contre-la-montre, a entamé une tournée des bars et posté sur Twitter une photo de lui, un verre de vodka-tonic à la main, avec ce sobre commentaire : «Totalement bourré à cette minute précise.»

Prix de la modestie : Au Vénézuélien Ruben Limardo Gascón, médaille d'or à l'épée (premier titre pour son pays depuis quarante-quatre ans), qui, après sa victoire, a simplement pris le métro, breloque au cou et sourire jusqu'aux oreilles.

Trophée de l'enthousiasme : à Bert le Clos, père de Chad, le Sud-Africain médaillé d'or sur 200 m papillon devant Phelps. Interrogé par la BBC, il bredouille, la vo