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reportage

L'OM valeureux mais battu (1-2) au Vélodrome par Arsenal

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Pour leur premier match de Ligue des champions cette année, les olympiens ont livré un bon match mais perdu. La suite sera compliquée dans un groupe relevé.
Elie Baup, le coach de l'OM, et Andre Ayew. (Photo Jean-Paul Pelissier. Reuters)
publié le 18 septembre 2013 à 23h12

Donc l'OM affrontait mercredi soir les Anglais d'Arsenal, pour son retour en Ligue des champions après un an de punition en Ligue Europa, seconde division européenne ennuyeuse. L'hypothèse de départ, formulée le matin dans Libé, était que les Marseillais ont recruté malin cet été, empruntant à la stratégie des belles années de l'Olympique lyonnais : acquérir de jeunes pousses prometteuses pour les revendre très cher demain lorsqu'elles auraient fini d'éclore, et offert à Marseille leur talent balbutiant.

Sur le terrain au coup d'envoi, deux de ces petits nouveaux. Le tout de même expérimenté Payet (26 ans), et le gamin Giannelli Imbula (21 ans), qui n'avait jamais goûté même à la Ligue 1 avant d'arriver cet été de Guingamp.

Le stade Vélodrome est encore en travaux. Aux trois quarts fini et refermé, mais il manque l'une des tribunes latérale et l'enceinte s'ouvre sur la ville. Quatre grandes grues tendent leurs bras de fer vers la pelouse. Et elles sont rouges et blanches ! Les couleurs d'Arsenal. Heureusement, les équipes arrivent sur le terrain et l'on constate que les hommes de Wenger jouent en maillots jaunes - au demeurant inélégants. Autre élément de décor notable, à la place de la tribune latérale manquante, des Algecos (marque déposée) sans parois du côté de pelouse. Il y en a deux séries, de part et d'autre du milieu de terrain, sur trois ét