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Libération
Décryptage

Ambitions très mesurées côté français

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Les espoirs de médailles reposent surtout sur le ski nordique. Les sports de glace restent sinistrés.
Alexis Pinturault est le plus sûr espoir de médaille pour la France en ski alpin. Il s'alignera en slalom, géant et super-combiné. (Photo Alexander Klein. AFP)
publié le 7 février 2014 à 21h16

Onze médailles à Vancouver et un objectif de treize breloques avant que Tessa Worley (slalom) et Marion Roland (descente) n'y laissent un genou : le camp tricolore se contenterait d'être dans les mêmes eaux qu'en 2010, même si la puissance invitante - la Russie - devrait ramasser moins large que les équipes nord-américaines il y a quatre ans. La première à créer la surprise s'appelle Perrine Laffont, 15 ans à peine, qui se retrouve ce samedi en finale du ski de bosses, après avoir décroché une inattendue 5e place lors des qualifs jeudi.

Le ski nordique en pointe

Comme ce fut le cas à Vancouver, le ski nordique devrait fournir à la délégation française la plupart de ses podiums. En biathlon d’abord, avec

Martin Fourcade

(photo AFP), qui s’alignera sur six épreuves. Vice-champion olympique de mass-start en 2010, le quintuple champion du monde, qui n’a plus quitté les podiums depuis et pointe en tête de la Coupe du monde, cible l’épreuve du sprint (ce samedi). Vainqueur à Anterselva (Italie) voilà deux semaines, le

relais homme

est attendu dans les médailles, sans compter la toute nouvelle épreuve du relais mixte. En combiné nordique,

Jason Lamy-Chappuis

compte conserver son titre de Vancouver et, pendant qu’il y est, emmener un relais très homogène -

François Braud, Maxime Laheurte

et

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