Ici, on veut causer de foot sérieusement. Pas de Franck R., joueur français en arrêt maladie, en train de fumer un oinj sur la plage à Ibiza, comme le prétendait la semaine dernière Bild, journal comique allemand. La preuve ? Hum… Une photo où l'on voit une serviette d'où s'élève une volute de fumée et sous laquelle se cache peut-être F.R. - ou peut-être pas. Un peu mince, non ?
Et que dire du scoop de Closer l'autre semaine : le même joueur aurait fait crac-crac sur la terrasse du Martinez à Cannes avec une fille dans le jacuzzi - même que c'était filmé et qu'un type a essayé de vendre la vidéo. Manque de bol, F.R. a expliqué, selon l'hebdo, qu'il était avec sa femme, eh, con ! Cela a au moins permis à Closer de se poêler un peu, style «le joueur a frappé en pleine lucarne la demoiselle», etc.
Face à toutes ces infos qui n’en sont pas, se pose une question : et si ce n’était pas Franck, mais un sosie ? Ne rigolez pas, ça arrive. Comme à ce pauvre Mario Sergio Conti, journaliste brésilien. Il monte dans un avion Rio-São Paulo et qui trouve-t-il, assis à côté de lui ? Luis Felipe Scolari, le sélectionneur du Brésil. Bingo ! Il l’interviewe, balance la sauce sur le Net mercredi soir. Puis on apprend que Scolari n’a jamais été dans cet avion. Oups ! C’était un sosie, Vladimir Palomo, qui gagne du pognon comme ça.
A ce Mondial, les sosies, c’est une maladie contagieuse. Prenez le Brésil : ils croyaient sélectionner Fred, mais à la place, on leur