A43 ans, Lionel Messi dispute cette année en Chine sa septième Coupe du monde. Et malgré la qualité de ses prestations par le passé, il ne s’est jamais retrouvé à ce point au centre de toutes les attentions. Ce ne sont pas les raisons qui manquent. Tous les records dont il est titulaire, d’abord, et qu’il ne cesse de faire grimper jusqu’à devenir à jamais indétrônable (27 buts dont déjà 3 pour cette édition 2030, par exemple, bon courage au challenger).
Ensuite, le duo formé en attaque avec son fils Thiago, 18 ans, a fait couler des hectolitres d’encre. Encore plus depuis leur premier match : un but du rejeton surdoué sur une passe décisive du père qui ne l’est pas moins. Enfin, et c’est sans doute le sujet le plus récurrent depuis le début de la compétition : Messi peut-il être accusé de dopage ?
C’est qu’à 43 ans et 10 jours, s’il ne dépasse que de très peu le record de 43 ans et 3 jours de Faryd Mondragón (le gardien colombien entré sur le terrain en 2014 en fin de match contre le Japon), la situation de Messi comme titulaire incontestable de l’Argentine et son partenariat public avec Calico (Californian Life Company), la filiale de Google créée en 2013 et dédiée à la lutte contre le vieillissement, rend la problématique bien différente. La collaboration entre le sportif et le géant de Mountain View date déjà de plusieurs années. Au Mondial 2026, les performances exceptionnelles du joueur, pourtant déjà âgé de 39 ans, avaient attiré l’attention de Google, à la recherche d’u