C'est le nombre de licenciées à la Fédération françaises de foot, soit 5,5 fois plus qu'il y a vingt-cinq ans. Le chiffre est opportunément tombé vendredi, en pleine semaine du sport féminin. Il appelle quelques bémols. Le foot féminin français ne pèse rien par rapport à son homologue allemand (1 million de licenciées) et, surtout, il reste ultramajoritairement masculin : les 100 000 footballeuses ne représentent en effet que 6 % du total des licenciés, seul le rugby est «plus XY» (5,1 %). C'est l'équitation qui est championne de la féminisation avec 82,8 % de licenciées, devant la gymnastique (80,3 %), la natation (54,5 %), le volley (48,2 %) et l'athlétisme (43,8 %).
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Publié le 07/02/2016 à 19h51
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