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Libération
Coupe du monde

Jour 17: dans le vif du sujet

La France ouvre samedi après-midi face à l'Argentine la phase à élimination directe de la Coupe du monde.
Séance d'entraînement des Bleus, vendredi, à Kazan. (Photo Saeed Khan. AFP)
publié le 30 juin 2018 à 11h37
(mis à jour le 30 juin 2018 à 11h55)

La Coupe du monde entre ce samedi dans sa phase décisive avec le début des huitièmes de finale, avec matchs à élimination directe, éventuelles prolongations voire recours aux tirs au but - à ce propos saviez-vous que même la science s'est penchée sur l'art du penalty ?

Il ne vous reste donc que quelques heures pour établir votre pronostic pour la victoire finale en tenant compte de vos observations du premier tour : notre appli de pronos est là pour ça. L'entraîneur René Girard, qui dresse pour Libé son bilan du premier tour, verrait bien un outsider s'imposer, comme la Croatie ou la Belgique.

Le programme

Quatre huitièmes de finale ont lieu ce week-end :

Samedi. 16 heures : France-Argentine ; 20 heures : Uruguay-Portugal.

Dimanche. 16 heures : Espagne-Russie ; 20 heures : Croatie-Danemark.

On va savoir

Après une phase de poule où elle a terminé en tête sans forcément briller, en sait-on vraiment plus sur l'équipe de France ? : «Les matchs n'étant ni bons (offensivement) ni mauvais (défensivement), on n'en distingue pas les contours», écrit Grégory Schneider envoyé spécial de Libé, à propos du match France-Argentine qui ouvrira les huitièmes de finale (samedi 16 heures, TF1 et BeIn). En face, l'Albiceleste n'a pas davantage convaincu en ce début de Mondial, mais s'est peut-être trouvé un gardien.

Et Maradona, s'il est en tribune, il fera quoi ? Notre dessinateur Terreur Graphique a bien une idée…

À 20 heures (TF1 et BeIn), l'Uruguay qui n'a encaissé aucun but depuis le début de la compétition affronte le Portugal de Cristiano Ronaldo (quatre pions à lui tout seul sur les cinq inscrits par son équipe).

Une question d’image

Depuis le fiasco de 2010, l'équipe de France a beaucoup travaillé son «exemplarité». Mais ce besoin d'exemplarité ne nous pousse-t-il finalement pas à modifier le réel et à nous inventer des histoires, interroge le sociologue Seghir Lazri dans sa chronique Sociofoot.

C’est mental ?

À ce stade de la compétition, un préparateur mental peut-il faire la différence ? Si certaines équipes commencent à avoir recours à ce type d'accompagnements, comme les Mexicains (qui affrontent le Brésil lundi), d'autres n'en voient pas l'utilité. On vous en parle ici.

Ponomarev, regard à part

Tous les jours, l'œil du photographe russe sur la compétition et ses environs. Voir notre diaporama.