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Libération
Coupe du monde

Jour 18 : l'heure de l'hôte

Face à l'Espagne, la Russie tentera ce dimanche après-midi d'accrocher une place en quart de finale.
Des supportrices russes lors du match contre l'Uruguay, le 25 juin, à Saint-Pétersbourg. (Photo Olga Maltseva. AFP)
publié le 1er juillet 2018 à 12h47

Le spectacle sera-t-il à la hauteur de la veille ? Samedi, la France s'est qualifiée pour les quarts de finale après un match dantesque face à l'Argentine (4-3) où Kylian Mbappé s'est révélé au monde, tandis qu'un Uruguay tout en maîtrise dominait les champions d'Europe portugais. France et Uruguay s'affronteront vendredi. Deux autres huitièmes de finale sont au menu de ce dimanche, dont celui du pays organisateur et celui de la Croatie, une des équipes que l'entraîneur René Girard, qui dresse pour Libé son bilan du premier tour, place au rang des outsiders sérieux.

Le programme

16 heures : Espagne-Russie (BeIn).

20 heures : Croatie-Danemark (BeIn et TF1).

La Russie pour une première ?

Dispensée de qualification en tant que pays organisateur, la Russie a connu un premier tour étrange, en commençant par deux cartons face à l'Arabie Saoudite (5-0) et à l'Egypte (3-1), avant d'en prendre un contre l'Uruguay (3-0). La voilà pour la première fois de sa relativement récente histoire en huitième de finale, et c'est l'Espagne qui se dresse devant elle, une Espagne qui a connu un début de Mondial tourmenté (changement de coach à l'avant veille de son entrée en lice) mais a malgré tout tenu son rang, terminant première de son groupe devant le Portugal.

Ce dimanche soir, les Croates, séduisants au premier tour, affrontent des Danois qui compteront sur le jeune Andreas Christensen, 22 ans, formé à Chelsea et devenu en quelques mois un titulaire indiscutable au sein de la défense rouge et blanche. Qui devra tenter de neutraliser Modric, Perisic et Mandzukic, rien que ça.

Et Terreur Graphique ?

Il tente de se remettre du match d'hier…

C’est mental ?

A ce stade de la compétition, un préparateur mental peut-il faire la différence ? Si certaines équipes commencent à avoir recours à ce type d'accompagnements, comme les Mexicains (qui affrontent le Brésil lundi), d'autres n'en voient pas l'utilité. On vous en parle ici.

Ponomarev, regard à part

Tous les jours, l'œil du photographe russe sur la compétition et ses environs. Voir notre diaporama.