«Maradona : fou, génial, légendaire.» Dans son bouquin sur le numéro 10 argentin, So Foot résume par le titre le joueur comme l'homme. Dans leur ouvrage, à ranger dans le rayon «beaux livres», les journalistes décrivent les nuances et excès d'un athlète parmi les meilleurs joueurs de l'histoire. Côté terrain est retracée sa carrière, du maillot d'Argentinos Juniors où, en 1976, il devient à 16 ans le plus jeune joueur pro de l'histoire, à la sélection albiceleste, en passant par Boca Juniors ou Naples. Et, côté coulisse, ses démêlés avec la drogue et avec sa famille ou 18 pages de pensées du joueur. L'ouvrage fourmille d'infographies, d'anecdotes sous formes de brèves, de portraits de ses proches, de textes d'ex-joueurs ou coachs… Mais ce qui frappe le plus lorsque l'on navigue à travers les pages, c'est l'iconographie, riche, souvent drôle, toujours splendide, grandiose. A l'image de sa carrière, que l'on prenne le terme grandiose de manière positive ou dans l'excès permanent.
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