Depuis qu’il a fait son retour il y a quatre ans chez les femmes, le Tour de France est une course à part. Bien plus médiatisée que les autres, bien plus dure aussi, la Grande boucle met les coureuses dans des situations qu’elles n’ont pas l’habitude de connaître le reste de l’année. Sur les routes de France, la pression est décuplée, les tensions dans le peloton également. Et pourtant, toutes se battent pour en être. A la fin d’une sixième étape auvergnate entre Clermont-Ferrand et Ambert remportée par la Française Maëva Squiban, Libé a discuté de cette course si spéciale avec sa compatriote Dilyxine Miermont, coureuse de l’équipe allemande Ceratizit et qui a grandi dans le coin.
Vous vivez à Clermont et êtes toujours licenciée à Ambert. Comment c’était d