On va finir par y voir une forme de standard des circonvolutions tricolores : deux défaites de rang pour les Bleus, en demi-finale de l’Euro allemand (1-2) contre la Roja espagnole en juillet et vendredi au Parc des princes en Ligue des nations face à la Squadra Azzurra italienne (1-3), et le président de la Fédération française de football, Philippe Diallo, qui vole au secours de son sélectionneur, Didier Deschamps, en moins de vingt-quatre heures pour expliquer qu’il n’a aucune intention de le virer. Samedi, c’était dans le Figaro et si l’édile en a fait assez pour rassurer le coach des Bleus, il n’a pas non plus signé un blanc-seing inconditionnel à un entraîneur sous contrat jusqu’en juillet 2026 : «Chaque chose en son temps. [Le virer] n’est pas mon état de réflexion. J’ai bien aimé ce mot de Didier Deschamps de “réoxygéner” l’équipe. C’est sa volonté et je la partage.»
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Ce lundi 9 septembre, les Bleus accueilleront la sélection belge à Décines-Charpieu (Rhône), près de Lyon, pour leur deuxième match de Ligue des Nations, et il se passe quelque chose de difficile à décrire. Juste sous la surface des choses, les réalités invisibles se mettent en place. Et elles poussent toutes pour en finir au plus tôt avec la mandature de Deschamps, quatre demi-finales lors des cinq der