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Coupe du monde de football 2026 : le «principe de précaution» des clubs, une pente glissante vers la fin des sélections nationales ?

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Pas encore qualifiés pour la Coupe du monde 2026, les hommes de Didier Deschamps font face à des équipes qui défendent chèrement leur peau. Et justifient d’autant plus la nécessité d’aligner les meilleurs des Bleus.

Les Bleus face à l'Azerbaïdjan au Parc des princes vendredi 10 octobre. (Benoit Tessier/REUTERS)
Publié le 14/10/2025 à 16h35

Serrés (2-2) lundi soir à Reykjavik par la sélection islandaise, les Bleus joueront leur qualification pour le Mondial 2026 le 13 novembre. Face aux Ukrainiens, qui patrouillent à trois points seulement de la première place occupée par l’équipe de France, la seule qui donne directement accès à la Coupe du monde nord-américaine. Puis à Bakou contre les Azerbaïdjanais trois jours plus tard, en cas de défaite face à Artem Dovbyk et consorts, ce qu’on ne leur souhaite pas.

La situation comptable de la sélection tricolore n’est pas mauvaise mais voilà, ce n’est pas fait. Et elle est en partie le résultat d’une décision fragile sinon litigieuse, le recours à la VAR qui priva les Islandais d’une égalisation sur le gong au Parc des princes début septembre (victoire des Bleus 2-1) et donna deux points de plus à l’équipe entraînée par Didier Deschamps, deux points qui pèsent lourd aujourd’hui.

Les tocards n’en sont pas

Nulle injustice ici mais des faits : les éliminatoires du Mondial, censés promener les superstars tricolores dans des contrées plus ou moins exotiques (c’est-à-dire peu vi