Sept mois de compétitions à blanc ou peu s’en faut, et enfin le grand soir : le Paris-SG va passer au révélateur mercredi 5 mars, en huitième de finale aller du tournoi-roi, la Ligue des champions, contre le Liverpool FC, prétendument «meilleure équipe d’Europe» (l’entraîneur parisien, Luis Enrique, samedi) animée par le possible meilleur joueur du monde (ça, c’est nous qui le disons), Mohamed Salah. Sept mois à amuser le tapis, en se jouant d’équipes inférieures comme un grand de troisième casserait la figure aux infortunés sixièmes dans la cour du collège ?
Non, à écouter les Parisiens. Trois équipes de Ligue des champions se sont fait tartiner depuis un mois par Bradley Barcola & co (4-1 contre l’AS Monaco le 7 février, 3-0 et 7-0 face au Stade brestois les 11 et 19 février, 4-1 devant Lille samedi en championnat) et les acteurs, enfin ceux qui parlent publiquement et ils sont rares dans la cosmologie du club, ont tous insisté sur la crédibilité sportive de ces trois-là sur le front européen.
Interview
Ce week-end, le capitaine et défenseur, Marquinhos, a donné un peu de perspective en par