Samedi, en marge du match nul arraché (1-1) à la sélection hongroise à Budapest, le sélectionneur des Bleus, Didier Deschamps, est revenu au centre de l’équation et ce n’est jamais bon signe. Leaders de leur groupe de qualification avec quatre points et d’ores et déjà qualifiés pour les huitièmes de finale, Hugo Lloris et consorts retrouvent mercredi le stade Ferenc-Puskás pour y affronter la seleção portugaise de Cristiano Ronaldo (1), et on a du mal à se départir de l’image d’un Deschamps en rogne, envoyant bouler la terre entière et s’en prenant sans précaution aucune – pas son genre, la main devant la bouche pour empêcher la lecture labiale à distance a été inventée pour lui – à des attaquants accusés de régler la mire sur les tribunes du stade en jauge pleine de la capitale magyare, plutôt que de faire tourner le tableau d’affichage.
Il se passe quelque chose. Une fois calmé, le sélectionneur a réveillé une piste ancienne à l’échelle d’