Vainqueur (1-0) à Londres à l’aller, le Paris-SG l’a emporté (2-1) mercredi au Parc des Princes et disputera bien la finale de la Ligue des champions le 31 mai à Munich contre l’Inter de Milan. Lors de cette demi-finale retour, les tout frais champions de France n’auront pas eu à grimper au rideau, non seulement supérieurs en tout mais animés d’une conviction sans commune mesure avec ce qu’aura mis dans la partie une équipe d’Arsenal résignée passé la première demi-heure. Et qui n’aura même pas donné le change.
Dans la satisfaction toute maîtrisée des Parisiens après le match aller à Londres, quelque chose était passé sous les radars : non pas la satisfaction, n’exagérons rien, mais le soulagement des joueurs anglais en zone mixte, dévolue aux échanges entre les journalistes et les acteurs après la rencontre. Dominés, les Gunners s’étaient débrouillés pour rester en vie. A portée de tir (un but de débours) d’un adversaire qui avait impressionné, Bukayo Saka avoir été «impressionné par la cohésion, la manière de faire circuler le ballon, celle de trouver le bon rythme» et de l’imprimer au match.
Une praline à fissurer un marbre
Bref : les hommes coachés par Mi