«Le Paris-SG est une possibilité parmi d’autres. J’ai eu beaucoup d’appels [de clubs intéressés par ma venue, ndlr]. Au moment où je vous parle, rien n’est sûr.» Il est 12h25 ce dimanche à Barcelone, à quelques mètres de la pelouse du Camp Nou, et Lionel Messi fait face aux journalistes. L’Argentin n’est pas venu pour parler de son futur, de ses probables retrouvailles avec Neymar et du reste, mais pour clarifier sa position durant les négociations entreprises pour sa prolongation de contrat, beaucoup, et pour dire au revoir, un peu, à un club qui l’a accueilli alors qu’il n’avait que 13 ans, pour l’installer sur le toit du monde.
Dans la foulée, Messi a été discrètement exfiltré. Il devait rallier Paris lundi matin, où il devrait passer, selon l’Equipe, la visite médicale préalable à un contrat tournant autour de deux saisons, plus une en option, à des conditions salariales que l’on imagine pharaoniques pour un joueur qui touchait entre 70 et 100 millions d’euros net par saison en Catalogne, lissage de ses primes diverses compris. Et qui n’a aucune raison d’en rabattre vis-à-vis d’un nouvel employeur, Qatar Sports Investments (QSI) c’est-à-dire Doha, dont il s