Inscrivez-vous pour recevoir gratuitement notre newsletter Libélympique tous les matins pendant les Jeux.
Il y a bien des gens qui courent aux aurores sur le pont Alexandre-III. Mais de simples joggeurs du mardi matin, pas des triathlètes olympiques, dont l’épreuve a été repoussée dans la nuit au mercredi 31 juillet, 10 h 45 en raison de la qualité de l’eau de la Seine. En contrebas, pas de ponton bleu flottant, sur lequel les participants devaient s’élancer à 8 heures pétantes. Les gradins qui jalonnent la Seine, montés sur-mesure, restent vides, inaccessibles au quidam, tous les accès étant scellés. Des nuées de curieux essaient de voir ce qu’il se passe entre les bâches aux nuances de bleu et de rose, labellisées Paris 2024. «Pourquoi c’est fermé ?» lance une passante à la volée. «Oh ça doit avoir un rapport avec la Seine, ils en parlaient hier», répond une autre.
«Qu’est-ce qu’il se passe ?» demandent, interloqués, Shlomi et Aya. Ce couple d’Israéliens, venus en France