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Paris devait être une fête pour les basketteurs français. Mais leur arrivée dans la capitale, après un premier tour intégralement exilé à Lille, s’est faite avec des grimaces et une grosse dispute. Vendredi soir, en zone mixte, peu après la claque reçue par les Allemands (85-71) en clôture de la poule B, l’arrière Evan Fournier enflamme la maison bleue : «On manque de repères. Par moments, on se trompe dans la façon dont on veut jouer. Et on en paie les pots cassés. De nos jours, la meilleure défense reste l’attaque. Ce n’est plus le jeu des années 90-2000 où tu pouvais défendre demi-terrain. Ton attaque est primordiale.» L’air de rien, Fournier lâche deux bombes : son équipe a tout faux et le sélectionneur Vincent Collet est has been. Le coach le recadre furieusement le lendemain. Bonjour Paris.
C’est donc en clowns tristes que le capitaine Nicolas Batum et la pépite Victor Wembanyama, sont venus saluer les fans, samedi soir au club France. «Wemby» – dont on annonce